journal de bord

J'en ai marre...

Je n'arrive pas à continuer tout ce que j'écris.

Je le sais bien que c'est moi et uniquement moi qui en est la cause, mais je n'arrive toujours pas à comprendre pourquoi.

Je dois faire une impasse, depuis que je n'écris plus de nouvelles d'après mes rêves d'aventures.

En même temps, je manque de confiance et ne peux m'empêcher de me comparer à ma mère, qui est écrivain.  

Au moins, les nouvelles, je les termine ; c'est pas comme les romans...

***

J'ai d'ailleurs eu l'idée de faire des livres à épisodes !

J'ai terminé "Gardiens du Ciel" et j'ai commencé "Les sentinelles de l'oubli".

J'ai inventé une planète :

Planète Triska

Langues : Krafok, Kafrok, Dasshuku, Dakku-Shū, Aniwa, Chohei, Chiwawoke, Konjiwa …

Régimes politiques : (le totalitarisme ni la tyrannie n’a jamais existé !)

Des royaumes (Schundi, Norkwen, Paboshka, Grindbroy, …), des fédérations (Kondewa, Akatchi-Wuki, Brahiko, Alkwendj, Ostrahikiwo) et des républiques (Krafouki, Kafroskj, Doshiganza, Dakko, Niwajira, Chohan, Chiwu et plein d’autres)

Religions : (où elle prend une place importante dans chaque pays)

Chisewa, Ankwa, Handwa, Byoshikanwa

Autres caractéristiques :

◊ La vie planétaire est plutôt pacifique et arrive à éviter, comme par magie, les guerres et les conflits internes

◊ La découverte d’autres systèmes planétaires se fait par téléportation

◊ Le handicap psychique n’existe pas, cela porte plusieurs noms mais cela n’est pas considéré comme une tare mais comme un don, quel que soit les pays

Géographie :

Planète bleue et marron, elle connaît les mêmes climats que chez nous. Il y a en tout 4 continents :

◊ Andrakar (comprenant Kordran et SoriKhandra)

◊ Kaffri

◊ Orakashaï (comprenant la Ropaya et l’Assaïa)

◊ Okinawe

C'est bête, mais je commence à manquer d'idées, moi. Journal de bord, c'est bien, mais je suis toujours sur Internet que pour mon autre blog (overcine) quand je ne suis pas sur mon mail, ni sur des recherches perso pour mes livres.

Hé oui, j'écris beaucoup !

Depuis l'âge de 12 - 13 ans où j'ai commencé à écrire, je fais à présent des nouvelles. Ce que j'arrive à terminer, contrairement aux romans que j'ai pu commencer par le passé !

***

Maintenant, en prime, j'ai trouvé une idée créative pour faire mes livres moi-même ! J'achète des beaux cahiers, sur lesquels je colle les feuilles que j'ai imprimées.

Voici une nouvelle écrite ce matin d’après mon rêve de cette nuit :

J’étais tranquille dans ma petite vie jusqu’à maintenant. J’allais rejoindre Ron, mon grand et vieil ami le professeur, à université.

Mais, oh surprise, je vois des élèves détaler et j’entends des cris et des coups de feu.

Je vois alors deux hommes. L’un crie à l’autre :

- Arrête ou je tire !

Mais l’autre se retourne et lui tire dessus. Ne demandant pas mon reste, je m’en vais aussitôt et retrouve Ron plus tard, à Venise.

Mais comble de l'ironie, je vois des hommes cagoulés faire irruption sur la place St Marc avec des blocs réfrigérants.

Ron me tranquillise, tandis qu'ils s’échappent à bord d'un hélico.

Plus tard, alors qu'il m'a fait monter à bord d'un vaisseau spatial en forme de blatte, je découvre ses amis : Sam, Elvis, Tony et Ricky.

Tiens, c'est curieux... Cela me rappelle que les voleurs étaient quatre !

- Attends-moi au bout, j'ai à discuter avec eux.

Je me retrouve alors à la tête de l'engin. Je ne sais si j'ai rêvé, mais il me semble avoir entendu des coups de feu. Je me retourne et vois les autres à terre,  morts, sauf un : Sam.

C'est là que je vois Ron faire irruption dans la pièce :

- Faut s'enfuir !

- Mais pourquoi ?

- Ce sont des trafiquants !

Je vois qu'il a une mallette avec lui, qui m'attrape par le bras. Le bout du vaisseau est amovible et on peut partir ensemble.

- Allez, viens, Marie. C'est risqué, ici ! On va tous mourir !

C'est vrai que le vaisseau m'a tout l'air de partir en fumée...

- Marie, je suis ton père !

Quoi ?! Ce n'est pas possible !

C'est là qu'apparait Sam, titubant :

- Rejoins- moi. Avec moi, tu auras la vie sauve. Il ne mérite pas ton affection.

Mais j’hésite. Mais ce père, que je n'ai jamais connu, lui tire dessus. Préférant cet homme à un tueur, je le rejoins et vois l’étendue des dégâts : une blessure à l'omoplate et, en prime, une plaie sous la clavicule au niveau des pectoraux... Tout ça du même côté !

- Marie, je suis un agent infiltré. Je devais démanteler un réseau de trafic d'organes.

Il parle difficilement et peine à rester éveillé. Oh la la...

- Non, je t'en prie. Reste là.

- Moi, je veux bien. Mais le vaisseau est en train de partir en miettes.

Je l'aide à se relever et, dès qu'on se rapproche assez du sol, on saute ensemble en contrebas.

Épilogue : Malgré l'état critique dans lequel il était, il s'en est finalement bien sorti. Je suis allée le voir à l’hôpital et je lui ai dit, alors que je suis restée un moment avec lui :

- Qu'importe nos vrais parents, ma famille maintenant c'est toi !

d'après le rêve de cette nuit :

Je vivais une vie de couple sans histoire, avec un fiancé et un enfant, une petite fille blonde (certainement d'un précédent mariage, car ni moi, ni mon conjoint n'est blond).

Alors, que je revois Mike, un vieil ami que je n'avais pas revu, celui-ci me dit que mon mari est un escroc, que je ne devrais pas me marier avec lui.

Je ne le crois pas, jusqu'à ce qu'il ne revienne plus.

Me souciant guère de lui, je ne me rends pas compte que cela fait bientôt une semaine ou deux que je ne le vois plus, quand Jim me dit :

- Dis, Marie, il y aurait un moyen d'avoir une machine pour creuser des galeries à ton travail ?

- Bien sûr, pourquoi ?

- Je... Je dois retrouver de l'argent qui m'appartient et que je ne retrouve pas dans la caverne située en hauteur.

- De l'argent ?

- Hé oui, ma douce biche, j'étais un voleur de banque avant de travailler dans les assurances mais un petit con a trouvé une pièce rare que j'avais trouvé dans un des coffres et il a trouvé le moyen de faire chanter... Mais moi, je n'aime pas les maître-chanteurs... Tu sais ce que j'en fais ? Non ?

Après un moment de silence, il ajoute :

- Et Mike ? Tu le connaissais ?

- Oui.

- Et tu ne t'es même pas rendue compte qu'il ne vient plus te rendre visite ?

- Non... Qu'est-ce que tu lui a fait ?

- Rien de trop méchant. Je suis peut-être menteur, dissimulateur et un voleur, mais je ne suis pas un assassin. Alors, tu me trouves un excavateur et dès que j'aurais trouvé l'argent, tu pourras le retrouver.

Mike, un maître-chanteur ? Mais qu'est-ce que c'est que cette histoire ?

J'ai fait ce qu'il fallait et, dès que je me suis doutée qu'il était parti dans la caverne de la montagne pour retrouver son magot, je repérai les lieux avant de faire de l'escalade et de le retrouver.

- Où il est ? demandai-je, ne faisant guère attention à la pile de billets et de trésors qui était sur un chariot élévateur en face de moi.

- Derrière.

Ne comprenant pas, je lui rétorque :

- Ne te fous pas de moi !

Mais une exclamation me tire de ce pas : 

- Je suis là !

Faisant le tour du chariot, je vois Mike assis, les mains liées derrière le dos :

- Je suis désolé.

- Pourquoi ?

- J'ai profité de ce que j'avais trouvé ici, la seule pièce qui restait du butin des voleurs de banque, pour te faire croire que ton fiancé n'est pas un homme bien... pour t'avoir, toi !

- Et tu t'es rendu compte que ce n'était pas des fabulations, quand tu as vu comment il a réagi.

- Ah ça, oui ! J'allais cacher la pièce dans le congélo de votre frigo, quand il m'a surpris.

- Qu'est-ce qu'il t'a fait ?

- Sur le moment, on s'est battu mais c'est lui qui a eu le dessus. Heureusement que tu n'étais pas là...

- Et après ?

- Il m'a amené de force ici, pieds et poings liés, et je suis resté là très longtemps...

- Bientôt deux mois.

Epilogue : Après l'avoir délié, je repartis avec lui et quittai définitivement mon fiancé, pour finalement m'installer avec Mike, le seul qui a su me prouver combien j'étais chère à ses yeux...