journal de bord

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psychologie


La psyché au cœur des thérapies

La thérapie comportementale s’attaque aux habitudes prises par les personnes et au processus des pensées. Elle permet de faire face aux schémas intérieurs qui nous incitent aux mauvaises habitudes et aux blocages de toutes sortes.

 

C’est vrai que notre psyché n’a aucune prise sur nous quand on a un petit vélo dans la tête ou quand notre esprit est focalisé sur des pensées négatives ou des « mauvaises » actions. Mauvaise, quand elle est inutile ou superflue.

 

La thérapie de groupe, quant à elle, apprend à savoir exprimer les souffrances infligées par les autres. C’est ainsi qu’on parle de thérapie familiale ou de couple.

 

Ici, la psyché se libère car elle laisse aller les émotions qui étaient refoulées jusque là.

 

Maintenant, la psychothérapie est supplantée par la relaxation, la sophrologie et le yoga qui permettent tous de libérer notre inconscient, par des exercices de respiration ou de méditation.

 

Il y a pourtant des fois où cela ne suffit pas. On a beau chercher tout ce qui peut guérir notre souffrance intérieure, on ne trouve pas !

 

Malheureusement, dans ces cas-là, on s’en tient aux anti-dépresseurs ou aux anxiolytiques alors que cela ne fait qu’atténuer notre douleur ou notre peur.

 

Le vrai problème n’est pas là, il est au-dedans de nous et nous refusons de croire que la réponse n’est pas à travers une thérapie mais dans notre rapport à nous-même !

 

Comment changer notre déni en acceptation positive et constructive de soi ?

 


23/10/2011
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Comment libérer la psyché

Il y a d’abord les blocages dûs au ressenti des événements de notre vécu. Ceci peut guérir en laissant parler notre souffrance et en cherchant à comprendre pourquoi cela nous fait mal.

 

Cette souffrance identifiée, on peut de plusieurs manières en guérir. Cela ne sert à rien de la minimiser, il faut l’évacuer ou la soulager, suivant notre décision.

 

Elle nous parle d’un sentiment d’abandon, de trahison ou d’humiliation. Elle traduit un besoin qui n’a pas été satisfait : être écouté, valorisé ou soutenu.

 

Les besoins de base sont relationnels : parler, gagner la confiance ou le soutien de quelqu’un, partager…

 

L’homme n’est pas fait pour vivre seul. C’est pour ça qu’il y a tant de conflits dans nos cœurs et qu’on se sent seul. Même quand on a l’amour d’une femme ou d’un homme.

 

Car l’amour ne représente pas que ce que l’on voit. Il est aussi dans la routine de notre vie.

 

Si un ami nous a humilié sans s’en rendre compte, ça fait mal. Si un parent n’a pas voulu écouter notre peine, ça fait mal aussi. Et si l’amour de notre vie prend plus de temps avec ses amis qu’avec soi, on se sent abandonné.

 

Cette souffrance, si on arrive à en parler à quelqu’un, perd de son poids dans notre cœur. A force de parler de ça à une personne différente, elle sera partie, même si votre entourage doit se dire que vous couvez une dépression !

 

Mais il arrive qu’on ait du mal à trouver les bonnes personnes à qui en parler, car il y en a dans votre entourage qui risque de ne pas être à l’écoute : « arrête ton cinéma » ou encore « un homme, ça ne pleure pas » vont aller vous blesser quand ils vous répondront ainsi.

 

On peut aussi écrire ou s’adresser au Divin (le Seigneur, les anges ou les saints)

 

Mais cette pratique doit s’accompagner d’une aide extérieure pour s’en sortir. Un psy ou un ami prêtre, par exemple.

 

Si cela ne suffit pas, c’est que votre souffrance est inscrite dans vos gênes et non dans votre vécu. En clair, votre mal-être est la continuation dans votre corps d’un trouble non exprimé chez vos parents ou chez vos oncles et tantes.

 

Qu’elle que soit la manière dont il s’exprime (manies, TOC, angoisse, pensées parasites…), on peut trouver où il se situe, grâce aux rêves, car on n’a pas du tout conscient d’où il provient.

 

C’est dans les rêves récurrents qu’on peut s’en rendre compte.

 

Quand j’étais ado, je faisais un cauchemar récurrent où je fuyais les grands chiens. A l’époque, j’avais très peur d’eux. Mais je ne sais toujours pas pourquoi et je n’ai pas cherché à en savoir plus, car j’ai réussi à ne plus en avoir peur.

 

Comment j’ai fait ?

 

Grâce à une info que m’a confiée ma mère. Elle m’a dit, à l’époque, peu avant que j’aille me coucher que leur taper avec le tranchant de la main sur le museau les faisait fuir. Dans la nuit, comme par hasard, je rêve à nouveau d’un grand chien grognant vers moi et menaçant. J’ai alors mis en pratique ce que j’avais appris et il s’enfuit aussitôt.

 

Par la suite, j’étais à la fois guéri de mon angoisse et libéré de ces cauchemars.

 

Cet exemple prouve que si on trouve comment se libérer de mauvais rêves influe sur notre bien-être.

 

Mais on peut aussi, grâce à la symbolique des rêves, comprendre pourquoi il y a un mal-être en nous. Tout ce qui est perçu comme négatif en est la marque.

 

Cela peut être une araignée, un crocodile ou un dinosaure.

 

Cela peut être une horloge, une armoire ou un aspirateur.

 

Des fois, c’est tellement évident qu’on ne comprend pas du tout comment on en est arrivé là : on rêve d’étranglements, de violences, de coups de feu.

 

Mais on peut très bien ne pas y prêter attention car cela ressemble plus à des rêves d’aventures qu’à une menace dans la nuit…

 

A vrai dire, cela représente un combat intérieur quand on fait des rêves pareils. Le tout est de se réconcilier avec soi-même pour ne plus en avoir.

 

C’est donc le signe que l’on ne s’aime pas. On peut ne pas aimer ses défauts, c’est vrai, mais si on arrive à les accepter et que l’opposition est toujours présente, c’est qu’il est antérieur à votre vie ou liée à votre petite enfance dont vous n’avez aucun souvenir.

 

Sur ce dernier point, je conseille des thérapies comme l’intégration mémorielle ou en renouant avec votre « enfant intérieur ». Il y a déjà eu des souvenirs qui sont remontés à la surface grâce à ça et qu’on peut faire confirmer par nos proches, si besoin est.

 

Si votre opposition intérieure n’a pas d’explications dans votre vécu, elle est « karmique ». C'est-à-dire qu’elle n’a pas sa cause dans notre vie, mais dans celle de notre famille.

 

Souvent, on parle de vies antérieures. Mais c’est une hérésie. On n’a qu’une vie sur Terre. Bien qu’on croit que le déjà vu est le signe d’une vie antérieure, ce n’est pas vrai. Cette impression résulte d’un don de voyance non exploité et non reconnu par la personne elle-même.


23/10/2011
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De lourds secrets de famille

Ceci est la cause de nombreuses maladies et souffrances intérieures inexplicables. Ils sont ancrés dans ce qu’on appelle l’inconscient collectif.

 

Pourquoi l’autisme est-il apparu ? Pourquoi le SIDA et la grippe aviaire sont-ils apparus ? Pourquoi existent-t-ils de plus en plus de maladies comme le cancer ?

 

Autant pour ces maladies, on trouve une explication avec Jacques Salomé : la communication entre les générations sont « malades » ; les souffrances latentes intergénérationnelles provoquent des somatisations, donc toutes ces maladies.

 

Mais l’autisme ? Qu’est-ce qu’il représente comme somatisation ?

 

La peur elle-même est là, dans toute personne, mais n’a jamais été aussi bien représenté que chez l’autiste…


23/10/2011
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